PARIS TOUCHES ME

Shadows and Lights

PARIS TOUCHES ME

The exhibition Touched by Paris revives the influence of the French capital on art and tries to present the painting style which is also a kind of heritage of the pictorial fulfillment of the representation. In terms of representation, the artists in the exhibition almost pass the baton into each other's hands, which lives as a flame of inspiration from the late Renaissance to the 21st century. even today in sz. The main theme of the exhibition is capturing light and shadow, achieving pure painting.

It is noteworthy that artists looked for new ways of representation not only in the avant-garde, but also in figurative painting, mainly through the works of masters who lived in the old centuries.

For many artists, neofigurativity was a necessary step out of the moral and aesthetic disillusionment created after the war. This human-centered movement, which started in France and spread rapidly, started with existentialism led by Sartre and spread to other art forms and other countries in Europe, which was looking for new goals and ideals. In many cases, artists working in the new representational style turned to hyperrealism, where precise observation ranges from still life to figurative compositions. This genre also functions as a kind of experimental medium, which can most easily bring them to the idea of ​​pure painting through the theme of still life or human representation, which has no deeper meaning, is beautiful for its own sake, without symbols.


In most of the themes in the evening, they did not capture the symbolism of the depicted fish or flowers, but rather the intense, colorful sight. They were looking for exciting, vibrant and, moreover, easily observable subjects for a long time, from which they honestly undertook to create a painting. Just for itself.

The modeling of human bodies and the new content gave painters increasingly difficult tasks. The excited response was to the image construction set up by the works of Caravaggio and the mastery of painterly naturalism. Figurative artists, like Caravagio, are primarily interested in the human body; as a shoulder twists or the skin creases on a backward neck. With raw naturalism, the artist presents bodies exposed to light and shadows. He often does all of this in a bleak environment without touchstones, in which the viewer is only referred to the main theme, to learn about the wonder of anatomy and painting. The aim is far from eroticism or the depiction of the perfect body, but on the contrary, the perception of real flesh and blood, i.e. the fundamental issues of naturalism, combined with the spatial arrangement of the figures and the sharp light-shadow contrast.

The exhibition Touched by Paris is about the magic of painting, where the subject of the pictures is actually the image creation itself. The adventure of painting light and shapes, like the masters of the 17th century, in the 20th century. through the artists of the 20th century to the new technologies.

art manager/ responsable d'art.: Orsolya Teremi 


Róbert Nádler (1858 –1938)

« Le talent d'un artiste vient de Dieu »

Bio

Peintre hongrois et pédagogue, un artiste principal du tournant du siècle en Hongrie. À l'origine, il a suivi une formation d'architecte, d'abord à l'école technique de Munich, puis à l'école technique de Vienne. À Vienne, cependant, il a suivi les cours de l'Académie des beaux-arts et s'est ensuite consacré à la peinture à plein temps. Pendant ses études, il a voyagé à travers l'Europe et l'Égypte. Il vit la vie vagabonde des artistes, visitant l'Italie, travaillant à Munich. C'est à l'occasion de l'exposition universelle de Paris en 1900, où ses œuvres sont médaillées, qu'il se rend compte que l'enseignement supérieur du dessin ne se suffit pas à lui-même, mais qu'il doit reposer sur des bases plus larges. Il devient le champion de l'enseignement du dessin. Le gouvernement l'envoie à Londres, Paris, en Belgique et à Amsterdam pour étudier l'organisation et les méthodes de l'enseignement artistique à l'étranger. Entre-temps, il mène une vie très active: il participe à des congrès, à des jurys, donne des conférences.

Paris

Pour lui, Paris est la capitale des beaux-arts. Il a visité Mihály Munkácsy, l'artiste prodige, qui est devenu mondialement célèbre à Paris. Bien qu'il connaisse Londres et qu'il ait voyagé en Égypte puis dans le monde arabe, Paris est sa boussole, son point de référence. Il est séduit par l'impressionnisme qui naît dans la ville, et surtout par les jeux de lumière. Cependant, il ne suit pas les tendances artistiques progressistes de l'époque. Il est ouvert aux idées nouvelles, mais son œuvre reste dans le cadre de la peinture académique.

Peinture

Ses nombreux voyages l'ont amené à peindre des paysages. Il a peint la plupart de ses tableaux sur panneau, en utilisant des huiles très diluées. Ses tableaux sont généralement de petite taille et ressemblent à des idylles. La peinture d'un bord de mer présentée ici - Seasite white rocks - était l'un de ses sujets favoris, et il préférait peindre la côte méditerranéenne, l'Adriatique, ou les côtes du sud de la France, de Monaco et de la Normandie.

Lumière / ombre

Le tableau représente une côte normande rocheuse et sablonneuse. Les couleurs du sable et des rochers se déclinent en une myriade de nuances, et la lumière de la mer est presque palpable. La figure centrale du tableau est une dame en robe bleue, le dos tourné, avec des enfants à distance.


Étienne Sándorfi (1948-2007)

« Je ne fais pas des peintures je fais des images. » (Sándorfi)

Ses peintures nous montrent un univers entre le rêve et la réalité.

Bio

Il était un peintre hongrois « hors du temp » qui est devenu célèbre de Paris. Ses nombreux autoportraits assez agressifs lui faisaient dire qu'il aimait peindre comme un kamikaze. Il était un peintre indépendant qui a créé son propre univers. Il était plus que génial. István Sándorfi est né à Budapest en 1948 et a quitté le pays avec sa famille après la révolution de 1956. Après un court séjour en Allemagne, son père, ingénieur, trouve un emploi à Paris et toute la famille s'installe en France. Peintre réaliste, il peint comme un kamikaze, dit-on de ses tableaux. Kamikaze : C'est l'énergie indéniable, presque surnaturel qu'il concentre dans ses tableaux. Il peint à la base d'une photographie, il prend une photo du sujet, il prend également des photos détaillées et peint à partir de celles-ci. Ses tableaux sont principalement détenus par des collectionneurs privés.

Paris

Plus tard, Il est retourné à Budapest, mais il sentait qu'il doit revenir à Paris parce qu'il se sentait hors de la circulation de la vie et de l'atmosphère mystique parisienne. Paris est un endroit dense, stimulant.

Peinture

Jumeaux siamois / autoportrait : L'arrière-plan de l'image est neutre, d'où le portrait émerge comme un rêve. Nous sommes en effet à la frontière entre le rêve et la réalité. S'agit-il d'une photographie ou d'une vision ? Il se peignait souvent lui-même, disant que le modèle était toujours à portée de main. C'était un peintre indépendant qui créait son propre monde. Il manque toujours quelque chose sur sa peinture, un détail, une main délibérément floue, un pied flou, qui rompt l'effet parfaitement photographique de l'œuvre. Dans ses tableaux, on sent qu'on est le témoin de quelque chose de surnaturel. "Je veux capturer l'esprit qui se cache derrière le matériau"- disait-il.

Ombre et lumière

À partir de la fin des années 80, il a peint principalement des figures féminines, souvent ses propres filles comme modèles ; les corps féminins voilés étaient accompagnés d'objets inhabituels. Le fond de ses tableaux est généralement constitué de murs neutres et simples, dont il peint les fissures avec le plus grand soin. Il a également conquis les États-Unis avec ses nus féminins et ses idylles. Ses brillantes représentations de l'ombre et de la lumière et ses peintures du corps humain et des draperies qui l'entourent rappellent les grands maîtres de la Renaissance. Les critiques d'art l'ont souvent classé parmi les peintres hyperréalistes, bien qu'il ne se soit classé lui-même dans aucun mouvement.


Elvira Marko-Radler (1973)

Son art est caractérisé par des solutions brillantes en matière de peinture.

L'artiste vous invite à un voyage intérieur avec ses peintures.

Bio

Elle est une peintre contemporaine hongroise, diplômé de l'université de Kaposvár, faculté des arts, en 2007. Depuis 1994, il participe à des expositions collectives et individuelles.

Paris

Ses peintures se caractérisent par un monde visuel expressif et surréaliste - son modèle artiste est Sándorfi. La façon dont Elvira s'exprime renvoie à l'univers du peintre génial, qui s'inspirait de l'atmosphère dense et toujours vibrante de Paris pour créer sans cesse. C'est ainsi, que l'art d'Elvira est lié à Paris, et son œuvre ravive, nourrit et poursuit la voie tracée par Sándorfi.

Peinture

Crazy world / Monde fou

Ses peintures figuratives et abstraites explorent les dimensions de l'âme. Chaque tableau est une révélation. C'est une certaine puissance et l'énergie qui émanent de ses peintures. Chacune de ses œuvres est finalement, un travail de long terme. Crazy world rivalise avec la perfection d'une photographie alors que nous savons qu'il ne s'agit pas d'une photographie, mais d'une confession mûrie pendant de nombreux mois.

Ombre et lumière

Elle commence un thème puis elle s'en concentre pendant de longs mois, et c'est ainsi qu'elle crée son monde, différent de tous les autres. Avec ses peintures, elle nous invite à un voyage intérieur à travers des compositions figuratives, une rareté dans l'art contemporain. Même après plusieurs vues, on peut découvrir de nouvelles choses et des solutions picturales brillantes.


Tibor Csernus (1927-2007)

Il est devenu immortel, comme les géants de la peinture en général. Ni les mots écrits, ni la parole vivante ne peuvent présenter ses peintures.

Bio

Son père étant peintre amateur, Csernus était fasciné par la peinture dès son enfance. En 1946, il entre avec succès à l'Académie des beaux-arts de Budapest. Dans les pays du bloc de l'Est, dans les régime socialistes, l'art contemporain est évidemment inconnu à l'époque, mais Csernus et sa femme sculptrice, Katalin Sylvester, fréquentent les cercles artistiques où ils ont accès à des publications d'art étranger "de contrebande" et où ils enchaînent les expositions d'appartements.

Paris

En 1957, il s'installe à Paris, où il fait la connaissance de peintres français de l'entre-deux-guerres (Georges Mathieu, Hantaï Simon) et de surréalistes (Max Ernst, Tanguy). En 1964, il s'installe définitivement à Paris. La ville lui tient à cœur et que, comme il le dit, la France est considérée comme une terre d'accueil et de tolérance. Il a trouvé suffisamment de travail d'illustrations pour gagner sa vie. Il est remarquable que son passage "à l'Ouest" n'ait pas attiré Csernus vers l'avant-garde de l'après-guerre ou les diverses tendances de la peinture et de l'art, mais qu'il se soit tourné de plus en plus vers la peinture figurative, en s'inspirant des œuvres des maîtres des siècles passés.

Peinture

Cette soirée on vous présente une image dont le titre est le marché aux poissons. Dans les années 1960, les peintres considéraient comme une sorte de "tour de force" le fait de peindre des objets et des scènes de la vie quotidienne de manière réaliste, soulignant ainsi qu'ils méritaient d'être élevés au rang d'œuvres d'art. Le Marché aux poissons nous montre une telle scène quotidienne. Ses images de scènes de rue et de personnes ont conduit Csernus à découvrir la photographie et par conséquent il est tourné vers l'hyperréalisme dans les années 1970.

Ombre/lumière

Il utilise le traitement de la lumière et les solutions de composition des grands peintres du XVIIe siècle. Il a été particulièrement influencé par l'œuvre du Caravage, des peintres napolitains et d'autres caravagesques, ainsi que de Vélasquez. Dans les années 1980, il passe à autre chose en peignant des compositions de nus à plusieurs figures et des scènes bibliques dans le style du Caravage, ainsi que des idylles et des peintures d'animaux. 


Norbert Dávid (1970)

" La Renaissance est mon thème principal, qui englobe tout."

Bio

Peintre contemporain hongrois, diplômé de l'université des beaux-arts de Pécs. Il est peut-être le seul peintre de l'art contemporain hongrois à ceinture noire d'arts martiaux et titulaire d'une maîtrise de 1er dan en karaté Kyokushinkai ; le secret de sa créativité réside dans la rencontre de ces deux mondes. Au cœur de son travail se trouve la création et le développement de l'espace de Résonance, qui, en tant que concept artistique, est le déploiement d'une approche thématique de l'œuvre d'une vie. Pour lui, la résonance est une réflexion personnelle sur le lien et l'évolution des changements dans la conscience intérieure et le monde extérieur.

Paris

Les conseils spirituels et techniques des maîtres de la Renaissance, et leur héritage spirituel vit dans l'œuvre de l'artiste. La recherche du chemin du Caravage, la quête de la lumière continue, définissent également l'œuvre de Norbert David. Donc Caravage ou Caravaggio est une boussole pour Norbert. L'expérience du présent et le lien collectif avec l'avenir. Une expression sophistiquée, avec des solutions techniques brillantes.

Peinture

The limit of ligth : le visage de la petite fille et sa robe rouge brillent sur le fond sombre. La magie naît de la dynamique de l'ombre et de la lumière. Qu'est-ce qu'on voit : une peinture du textile magistral, une perspective courbe et une profondeur infinie. Le tableau proclame la liberté de l'esprit, alors que dans son mouvement, le mouvement physique entravé n'est pas possible. Une représentation du repli sur soi, de l'expérience de la paix intérieure et de l'équilibre. La petite fille assise au bord de la lumière représente ce fil conducteur de l'œuvre.

Ombre-lumière

La signature de l'artiste, qui rend ses peintures uniques et incomparables : est la lutte interne et la compétition pour l'attention entre les couleurs, et les harmonies changeantes des couleurs avec la lumière, qui modifient la structure de la surface et le contenu pictural. Dans ce cycle, la richesse des couleurs, qui ouvre des portes multidimensionnelles, nous entraîne lentement dans un espace intemporel, le spectateur pouvant faire l'expérience du passé et de l'avenir au moment présent.


Béla Balog (1970)

« Tout mon travail est une histoire, un processus d'activité. »

Bio

Artiste digitale hongrois qui vit à Budapest. Il a étudié le violon pendant 13 ans et joué de la basse pendant 4 ans. Il a commencé à travailler en tant qu'artiste visuel après une longue période d'études privées et s'est fait connaître du public en 2022. Dans un an, ses peintures sont connues dans le monde entier. En 2022, il reçoit le prix Donatello. Le prix Donatello est l'un des prix artistiques les plus prestigieux décernés à Florence. Ce prix est une étape importante dans la carrière de l'artiste.

Paris

Béla Balog a développé des techniques tout à fait uniques utilisant à la fois des éléments photographiques et des éléments de dessin. Ses œuvres sont créées par le biais d'un processus digitale unique qu'il développe lui-même. Il ne cesse de développer cette technique et d'en expérimenter de nouvelles. Dans ses peintures, il combine les styles Art nouveau (Emile Gallé, Aristide Maillol, Georges de Feure) et Bauhaus. Il a commencé par une étude qui et est devenu finalement une série de 12 tableaux, qui sont présentés dans un grand article de plusieurs pages dans le dernier numéro d'Art Market Magazine en novembre.

Image

Il combine différentes techniques ou il utilise simplement le style que l'histoire exige. C'est une sorte de flux qui va du surréalisme au néo-expressionnisme en passant par le déconstructivisme". Sweet memory of youth /Le doux souvenir de la jeunesse reflète également un paysage dynamique et multidimensionnel. Les image donnant au spectateur le sentiment d'observer un environnement actif et vivant.

Ombre et lumière

Ses images digitales créent un contraste saisissant entre l'ombre et la lumière, grâce à des solutions techniques étonnantes. Le sujet est placé dans une sorte d'espace multidimensionnel, à la fois magique et réel.


Christophe de Callatay

"J'aime explorer le pouvoir des couleurs. Je suis fascinée par l'harmonie et le contraste lorsqu'elles se mélangent et se complètent."

Bio

Artiste autodidacte à la formation cosmopolite : maîtrise en droit, en philosophie et en journalisme, ainsi que des diplômes en relations internationales, en sciences politiques et en gestion. À l'âge de 13 ans, il a remporté le premier prix du concours national de peinture organisé par l'ADAC (Association pour la Diffusion Artistique et Culturelle) au Musée Royal des Beaux-Arts de Bruxelles (Belgique).

Ses voyages

Il a réalisé des films aux États-Unis et en Inde en tant que lauréat de la Belgian-American Education Foundation (BAEF). Il a écrit un livre sur l'éducation aux médias, publié de nombreux articles et parcouru le monde en tant que journaliste. Il a ensuite entamé une carrière dans le domaine de la communication et des affaires publiques, occupant divers postes de direction au sein d'organisations internationales. Il est actuellement directeur général de l'American European Community Association (AECA), basée à Bruxelles.

Peinture

Amsterdam : La lumière et la couleur des bâtiments se reflètent de manière onirique sur la surface de l'eau, dont chaque vague émet une lueur différente. Tantôt jaune à orange, tantôt blanc.

Ombre et lumière

 Au fil des ans, il a acquis une expérience considérable et un riche portfolio en tant que peintre à l'huile. Il n'appartient à aucune école de peinture. Depuis son enfance, il développe son propre style artistique, son propre univers pictural, dans lequel il préfère également peindre des animaux imaginaires, des personnages mythologiques, ou des paysages magiques et des thèmes religieux.


Lívia Vajda (1929-2011)

Bio

Né à Nyíregyháza, en Hongrie. Ses études de peinture sont interrompues par la Seconde Guerre mondiale. En 1944, il est arrêté à la gare de l'Est à Budapest et déporté à Auschwitz. Elle était une vraie débrouillarde. Grâce à sa connaissance de l'allemand et à sa calligraphie, il a pu accomplir des tâches administratives et ainsi survivre l'impossible, le camp de la mort. Après sa libération, quelques années plus tard, il émigre à Paris en 1947.

Paris

Elle prétendait pouvoir mener une vie normale grâce à la peinture, mais en réalité, l'art n'a fait qu'atténuer sa grave dépression. Lívia avait d'excellentes bases d'étude : à Budapest, elle a étudié à l'école d'Aurél Bernáth. Elle se marie à Paris et donne naissance à une fille. Monique - Mona – qui travaille comme journaliste et elle peint aussi. Elle a 44 ans lorsque sa mère a enfin montré la seule photo de famille qui lui reste. C'est ainsi que la biographie de Lívia Vajda est née par la plume de Monique.

Image

C'était la Belgique qui lui a apporté le succès. Une fois que ses tableaux ont eu du succès dans ce pays, elle n'a plus eu besoin d'aucune autre source de revenus. Elle devient de plus en plus audacieuse dans sa façon de combiner des couleurs dans ses tableaux. Comme sur la Ville imaginaire, où une myriade de nuances de bleu et de violet s'entremêle, les couleurs brillent presque, comme si une lanterne était placée devant le tableau et éclairait la ville qu'il représente.

Ombre et lumière

En choisissant des thèmes tels que la danse, le mariage et les idylles, elle cherche également à mettre l'accent sur les aspects beaux et agréables de la vie. Elle évoque souvent les villages et les danses hongroises. Elle utilise des couleurs vives pour présenter les moments joyeux de la vie, grâce auxquels elle triomphe de l'obscurité et nous emmène la beauté et la lumière. Comme le célèbre auteur-compositeur et chanteur belge Paul Louka a chanté d'elle : "Lívia, notre mère arc-en-ciel, tu nous donnes l'arc-en-ciel de la Hongrie".

art manager / responsable d'art. : Orsolya Teremi  

PASSENGERS - TRAVELLING WHITHOUT MOVING

Logic will get you from A to B. Imagination will get you everywhere.  - Albert Einstein


EXHIBITING ARTISTS


CHRONOLOGY


CATERING & VISUAL APPERARANCE


EXHIBITING ARTISTS / biography / Biographie

"La logique vous mènera de A à B. L'imagination vous mènera partout."  - Albert Einstein

Pierre-Auguste Renoir (1841 - 1919) : un des plus grands artistes français. Il était artiste contemporain de Mihály Munkácsy.

« Il n'y a qu'une seule façon de comprendre la peinture : il faut regarder des tableaux » (Renoir)

Renoir a 22 ans lorsque son maître Gleyre l'accuse de "peindre pour le plaisir". Renoir répond que, bien sûr, s'il n'avait pas été amusé, il n'aurait jamais commencé à peindre ; son credo était que "la terre est le paradis des dieux : c'est cela que je veux peindre" ; sa joie de vivre innée, sa sérénité, son équilibre ne l'ont jamais quitté, et ces émotions se reflètent dans tous ses tableaux, ce qui explique que ses œuvres soient appréciées dans le monde entier.

Il est devenu d'un ancien apprenti peintre sur porcelaine à la campagne à une figure majeure de l'art moderne, avant tout parce qu'il était un peintre de la sérénité, de la lumière, de l'éclat, de la beauté, de la féminité et de la joie de vivre ;

En 1862, à l'âge de vingt ans, il a les moyens de s'inscrire à l'École des beaux-arts pour y étudier le dessin et l'anatomie artistique. Il s'y lie d'amitié avec Claude Monet, Alfred Sisley et Frédérick Bazille, et les quatre amis peignent ensemble dans la forêt de Fontainebleau ;

« Un matin l'un d'entre nous n'avait plus de peinture noire. C'est ainsi que l'impressionnisme est né. »

Le groupe, connu sous le nom d'impressionnistes, a tenu sa première exposition à Paris en 1874, et bien que le Salon officiel - l'institution d'exposition de l'Académie française - ait souvent rejeté leurs peintures novatrices aux tons vifs, ils sont rapidement devenus célèbres ;

Alors que ses collègues continuent à peindre des paysages, il s'intéresse de plus en plus à l'homme ; ses petits coups de pinceau multicolores captent l'éclat de l'atmosphère, la lumière qui traverse le feuillage, les reflets ; il organise sa première exposition personnelle en 1879, puis visite l'Algérie, l'Italie et la Provence ; ses expositions sont couronnées de succès, il se marie et sa situation financière est bonne ; à cette époque, il peint principalement des nus, et exprime même la beauté féminine en sculpture, comme il le dit : Ne croyez jamais un homme qui ne soit pas ému par le sein d'une belle femme" ;

Après son voyage en Italie en 1881, il se tourne avec grand intérêt vers les fresques de Raffaello ; c'est le début de ce qu'on appelle sa "période sèche", lorsqu'il passe de l'impressionnisme au classicisme, de la couleur à la forme, de la spontanéité à des formes plus prononcées, tout en conservant la plénitude de la vie dans ses œuvres ; vers 1883, il tombe dans une crise créative ; Il ressent un manque d'intérêt de la part de son public et de la critique, et se déclare dans une impasse artistique ; le travail de ces années culmine avec le tableau Les grandes baigneuses de 1887, pour lequel il a étudié pendant des années ; à la fin des années 1980, il apprécie à nouveau le jeu des couleurs, mais son éloignement de l'impressionnisme reste définitif.

auteur : Orsolya Teremi 


auteur : Orsolya Teremi 

Mihály Munkácsy (1844 - 1900) : un artiste prodige, hongrois qui est devenu mondialement célèbre à Paris.

Son style était à la fois romantique et réaliste, toujours plein d'idées et d'innovations artistiques.

Il était un bel homme, grand et séduisant, de taille 189 cm.

- Il a commencé comme apprenti menuisier dans une petite ville hongroise de la campagne, il devient l'une des vedettes du Salon de Paris, centre artistique mondial de l'époque, et conquiert le monde avec ses immenses toiles ; et, comme tant d'autres peintres, sa vie et son œuvre sont largement influencées par ses relations avec les femmes.

- Son style était à la fois romantique et réaliste, toujours plein d'idées et d'innovations artistiques ; il était étroitement lié à la représentation réaliste de Gustave Courbet ; l'élément le plus précieux de son art est peut-être sa compréhension et son expérience de la douleur humaine ;

- il a été l'un des premiers artistes de son époque à travailler consciemment - de manière contractuelle - avec un marchand d'art, que nous appelons aujourd'hui un "manager", dont la tâche consistait non seulement à organiser et à diriger des expositions, mais aussi à approcher des clients plus fortunés ; ses clients américains les plus fortunés comprenaient, par exemple, le roi de la presse Joseph Pulitzer, le 22e président des États-Unis, Grover Cleveland, et Robert Lenox Kennedy, qui a exposé les peintures de Munkácsy à la Lenox (aujourd'hui Public) Library de New York, où elles sont toujours exposées ;

- Munkácsy est devenu l'un des artistes les plus influents de la monarchie, et un artiste de renommée au niveau internationale. Il est maître du portrait humain – ses œuvre de taille imposante a conquis le cœur du public partout dans le monde.


Alors que ses collègues continuent à peindre des paysages, il s'intéresse de plus en plus à l'homme ; ses petits coups de pinceau multicolores captent l'éclat de l'atmosphère, la lumière qui traverse le feuillage, les reflets ; il organise sa première exposition personnelle en 1879, puis visite l'Algérie, l'Italie et la Provence ; ses expositions sont couronnées de succès, il se marie et sa situation financière est bonne ; à cette époque, il peint principalement des nus, et exprime même la beauté féminine en sculpture, comme il le dit : Ne croyez jamais un homme qui ne soit pas ému par le sein d'une belle femme" ;

Après son voyage en Italie en 1881, il se tourne avec grand intérêt vers les fresques de Raffaello ; c'est le début de ce qu'on appelle sa "période sèche", lorsqu'il passe de l'impressionnisme au classicisme, de la couleur à la forme, de la spontanéité à des formes plus prononcées, tout en conservant la plénitude de la vie dans ses œuvres ; vers 1883, il tombe dans une crise créative ; Il ressent un manque d'intérêt de la part de son public et de la critique, et se déclare dans une impasse artistique ; le travail de ces années culmine avec le tableau Les grandes baigneuses de 1887, pour lequel il a étudié pendant des années ; à la fin des années 1980, il apprécie à nouveau le jeu des couleurs, mais son éloignement de l'impressionnisme reste définitif.


Amerigo Tot, est un sculpteur hongrois (1909 - 1984), l'un des artistes les plus aventurier de son temps, un artiste génial. Il était un esprit universel. Son nom en Hongrois est Tóth Imre.

« le grain, la terre et la femme sont lié, et appartiennent ensemble... » (Amerigo Tot)

En 1930, à peine âgé de vingt ans, poussé par le désespoir, il quitte la Hongrie, étudie au Bauhaus, est marin à Hambourg, puis s'enfuit en 1933 à Rome, où il vit comme une sorte d'artiste bohème sans domicile fixe, vivant de petits boulots ; il combat ensuite dans le mouvement partisan italien ; après la guerre, il est coureur automobile, lanceur de balles et, pendant quelques années, directeur d'une fabrique de céramiques.

Son œuvre englobe toutes les affres de la sculpture, mais révèle aussi ses brillantes qualités de dessinateur, où l'influence de ses confrères - et amis de Rome - Picasso, Salvador Dali et Marc Chagall est indéniable.

Le marteau et la cuillère des Portes Saintes, commandés par le pape Paul VI et portant l'empreinte de la main du chef de l'Église, sont toujours visibles au musée du Vatican, et ceux qui se rendent à Rome en train peuvent encore admirer son œuvre gigantesque, la frise extérieure de la gare Termini (1949-53).

Dans les années 1970, il apparaît dans plusieurs films : Pulp (1972) avec Michael Caine et Dog's Heart (1976) avec Max von Sydow. Son talent d'acteur est visible dans des scènes du Parrain II, où Al Pacino, en tant que garde du corps d'Al Pacino, exécute des rivaux et devient lui-même une victime.

Le fait que même Picasso enviait son pouce puissant et que son exposition personnelle de 1966 à New York ait connu un tel succès que de jeunes fans ont fait couper les revers de sa cravate et de la poche de sa veste avec une mèche en guise de relique, fait partie de son image personnelle.

auteur : Orsolya Teremi 


József Benes (1936-2017) est né dans la région de Serbie habitée par les Hongrois, en Voïvodine (Vajdaság), où a commencé à travailler.

« Je ne pourrais pas vivre sans la peinture et le dessin ». Il n'y a pas de jour sans dessin pour moi. »( Benes)

L'artiste hongrois est considéré comme un peintre moderne, réaliste.

Il a réalisé plus d'une centaine d'expositions personnelles et collectives en Serbie, en Hongrie, en Pologne et dans de nombreuses autres villes d'Europe occidentale ; ses œuvres se caractérisent par la façon dont il agrandit un détail ou se concentre sur un seul motif ; l'un de ses motifs récurrents est Zenta et la rivière de la ville, la Tisza, dont il avoue avoir constamment la nostalgie ou il est né. Il aimait passionnément le paysage, la région ou il est né. Comme il a nommé « terre de Pannonia »

Il a peint, dessiné et reproduit des œuvres graphiques.

auteur : Orsolya Teremi 


Attila Csernik est né dans la région de Serbie habitée par les Hongrois, à Novi Sad, (Újvidék) (1941).

« L'imprimerie et ma femme littéraire ont été la source d'inspiration pour moi. » (Csernik)

D'abord graphiste et concepteur de livres, il a étudié l'art à Novi Sad et à Montréal, développant un univers visuel et une technique unique, dans lesquels il était en avance sur Andy Warhol ; il a été le premier à créer et à présenter ce que l'on appelle des poèmes visuels.

Les œuvres typographiques et photographiques de l'artiste, que l'on peut qualifier aujourd'hui de cultes, sont exposées au musée Ludwig de Budapest et constituent une synthèse des années 70 et 80 et de leur atmosphère, des personnages dans les images et du contexte culturel et politique.

Dans la plupart des cas, les éléments de texte et les fragments de mots dans les œuvres n'ont pas de "sens", pas de signification résoluble, mais plutôt la valeur visuelle et esthétique des ensembles de lettres.

auteur : Orsolya Teremi 


auteur : Orsolya Teremi 

István Sándorfi, ou Étienne Sandorfi comme on l'appelait en France (1948 - 2007) était un peintre hongrois « hors du temp » qui est devenu célèbre à Paris. Ses nombreux autoportraits assez agressifs lui faisaient dire qu'il aimait peindre comme un assassin.

« Je ne fais pas des peintures je fais des images. » (Sándorfi)

Il était un peintre indépendant qui a créé son propre univers. Il était plus que génial.

En tant que directeur d'IBM en Hongrie, le père d'Étienne Sandorfi était considéré comme sympathisant américain durant le régime communiste, emprisonné puis condamné à mort, tandis que le reste de la famille était déportée dans un village hongrois. Pour éviter l'exécution du père, la famille a profité de la révolution de 1956 pour s'enfuir et se réfugier en Autriche, en Allemagne puis en France. Le petit Sandorfi a été hautement marqué par la violence dont il était le témoin et par les aberrations des systèmes politiques plus généralement, ainsi Sandorfi s'est réfugié dans le dessin, puis dans la peinture à l'huile dès l'âge de 12 ans. Á partir de cela ils sont restés en France.

Plus tard, Il est retourné à Budapest, mais il sentait qu'il doit revenir à Paris parce qu'il se sentait hors de la circulation de la vie et de l'atmosphère mystique parisienne. Paris est un endroit dense, stimulant.

Il vivait hors du temps, car il ne regardait l'heure. « Vous êtes le maître, car vous vous levez et vous vous couchez quand vous voulez, quand vous en avez envie. La réalité, c'est la nature. La société fait ses propres règles, qu'on doit suivre, mais moi, je suis la nature, c'est ça la réalité. La nature n'impose jamais. » Il manque toujours quelque chose à son tableau, un détail. Il ne peint pas le visage, l'objet, mais l'esprit. Avec ses peintures, nous marchons à la frontière entre le rêve et la réalité. « Je fais des images, pas des peintures. »

Bien que les critiques l'aient qualifié d'hyperréaliste ou de photoréaliste - il ne s'est jamais laissé enfermer.


Norbert Dávid est né à Nova, en Hongrie, près de la frontière entre la Hongrie, l'Autriche et la Slovénie (1970). Aujourd'hui, il vit et travaille à Budapest.

Il est peut-être le seul peintre des beaux-arts hongrois contemporains qui a la ceinture noire d'arts martiaux et qui est titulaire d'un diplôme de maître 1er dan en karaté Kyokushinkai ; le secret de sa créativité réside probablement dans la rencontre de ces deux mondes - c'est le voyage personnel sans fin, qui se conditionne et se nourrit mutuellement, la réflexion personnelle sans fin sur le lien entre les changements et les modifications de la conscience intérieure et du monde extérieur. Il fait des peintures figuratives et non figuratives également. Un artist génial et, vraiment polyvalent.

« La Renaissance est mon thème principal qui englobe tout. Les conseils spirituels et techniques des maîtres de la Renaissance - la connaissance de nous-mêmes dans le présent et notre connexion universelle avec l'avenir. Une sorte de vision impressionniste abstraite qui ne manque pas d'éléments figuratifs et de solutions techniques. » (David)

auteur : Orsolya Teremi 


Béla Balog est né à Zenta, dans la région de Serbie habitée par les Hongrois (1970). Aujourd'hui, il vit et travaille à Budapest.

« Tout mon travail est une histoire, un processus d'activité. » (Balog)

Il a développé des techniques tout à fait uniques, utilisant à la fois des éléments photographiques et des éléments de dessin, combinant différentes techniques ou utilisant simplement le style requis par l'histoire. Il s'agit d'une sorte de flux allant du surréalisme au néo-expressionnisme en passant par le déconstructivisme. Mais il y a aussi un besoin de qualité documentaire pour décomposer le message de l'œuvre en une expérience plus visuelle.

Ses œuvres sont créées par le biais d'un processus digitale unique qu'il développe lui-même ; chaque œuvre est une histoire, un processus d'action, des histoires entourant son environnement immédiat ou plus large.

Dans chaque œuvre, plusieurs scènes sont superposées et montrent le passage du temps, qui s'étend au fur et à mesure que l'on regarde l'ensemble de la série, chaque image donnant au spectateur le sentiment d'observer un environnement actif et vivant.

auteur : Orsolya Teremi 


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Works of Art / RESONANCE series by artist Norbert DAVID 

Works of Art / RESONANCE series by artist Norbert DAVID 





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RESONANCE

Norbert DAVID ART exchibition